De la poésie pour ceux qui savent l'apprécier

Gefallen

Warum ist Dir auf Deiner Suche
Kein Opfer zu groß
Um zu erreichen was ich verfluche
Gibst Du Dich auf
Warum ist Dir die Akzeptanz
Oberstes Gebot
Siehst Du nicht der Wahrheit Glanz
Tief in Dir

Ich hab' zu viele Engel fallen sehen
Unter dem Rad der Zeit
Seelenleer und entstellt
Wenn der letzte Schatten fällt

Warum erkennst Du nicht einmal
Im letzten Augenblick
Daß Du ein Leben nur aus Lügen lebtest
Ohne klar zu sehen

Daß das Gesicht unter der Maske ist
Zur Fratze nun entstellt
Daß nichts mehr von Dir übrig ist
Was Dich zusammenhält

une de mes préférées

Aus den Ruinen

Aus den Ruinen meiner Träume
Blick ich nun zu Dir empor
Zu Dir mein Engel, den die Liebe
Mir zum Gegenstück erkor

Ich war zu blind vor Liebe
Um die Wahrheit schon zu sehen
Fremd war mir nur der Gedanke
Mich einmal ohne Dich zu sehen

Du hast mein Herz zerrissen, meine Seele geraubt
Das es so enden würde hätt` ich nie geglaubt
Ohne Rücksicht auf Verluste, hast Du meine Welt zerstört
Eine Welt, die vor kurzem nur uns beiden hat gehört

Doch selbst nach allen den Tagen
Suchen mich Nachts Dämonen heim
Die mir sanft von Dir erzählen
Und niemand hört mein stummes Schrein

In den Ruinen meiner Träume
Seh` ich nun langsam wieder klar
Und ich will einfach nicht glauben
Dass unsere Liebe eine Lüge war

Fallen Angel

I found you broken on the ground
From your mouth a bitter sound
That became sweeter as I approached
You in your deepest agony

I put you up and raised you well
And more than stories ever tell
I fell in love with you those days
And hoped that you would too

You’ve been a fallen angel
Ripped out of the sky
But as your wings grew strong enough
You left me - behind to die

We built up our own world together
For our future I assumed
I believed in what you said that day
But was already doomed

The more you’ve learned and grown
The less you cared for me
But I was too blinded by my feelings
To see the dawning agony

I love you more than I can say
And we will never part
You told me nearly every day
But still you broke my heart

As soon as you could fly again
Into the open sky
You left me without any reason
Back on this world to die

Wilder Wein

Wilder Wein - vor deinem Schloss
Wilder Wein - ich bin bereit
man meldet Ankunft - nur für den König
Gott steh mir bei - und öffne deine Tore
Wilder Wein - und ganz langsam
Wilder Wein - so warm und feucht

Wilder Wein - vor deinem Schoss
Wilder Wein - es steht geschrieben
tief im Wasser - kreuzt man nicht
doch meine Lust - verlacht die Flügel
Wilder Wein - wie eine Taube
Wilder Wein - so nass und heiss

Wilder Wein - vor diesem Dunkel
Wilder Wein - von Licht geheilt
es bleibt verborgen - sonst könnten wir uns wehren
ich warte auf dich - am Ende der Nacht
Wilder Wein - nur eine Traube
Wilder Wein - und bitter wie Schnee

ich warte auf dich - am Ende der Nacht

Vampirica

J’ai sentit ma gorge et mes boyaux
Se tordrent dans mon ventre douloureux.
Puis une infinité de couteaux
Aux pointes acérées, dangereux,
Ont transpercé mon cœur de l’intérieur,
Laissant de nombreux déchirements,
Remplissant mon être de terribles douleurs,
Me vidant de mon sang lentement.
Comme le flux de vie fuyait de moi,
Mon corps s’est vidé complètement.
Me laissant carcasse creuse, dément,
Inanimé sur le sol froid.

ironie

Je suis un cadavre marchant,
Je bouge sans jamais avancer.
Je suis un orateur muet,
Sans rien dire toujours parlant.
Je suis un aveugle observateur,
Les yeux fermés je surveille tout.

Je suis un mangeur affamé,
Rien n’enlève la faim qui m’emplie.
C’est le vide qui me nourri de peur,
Et me laisse pleine de crampes partout.
Je suis une écoutante sourde née,
Mon ouie parfaite est déjà finie.

Je suis un nouveau-né mort.
Ma propre naissance m’a tuée.
Une insensible perturbée
Par des fantômes étrangers
De souvenir oubliés
Depuis déjà maintes années

loup

La neige pleuvait, battue par un vent glacial,
Jetant de gros flocons à la consistance molle
Sur les arbres nus que la surcharge courbait au sol,
Semblables aux vieillards approchant le jour final.

Je me frayais péniblement un mince chemin
Au travers des branches entremêlées des feuillus,
Ces bras couvert de glaces, luisants, aux doigts crochus,
Griffant ma peau, y creusant de rouges sillons fins.

Glacée, perdue au milieu d’une nuit hostile,
Les paupières et les membres lourds d’épuisement,
La peau froide, abîmée et ruisselante de sang,
Aux coins des yeux, des larmes de cristal immobiles.

Au travers des branches menaçantes, je vis deux flammes,
Minuscules, qui jetaient de jaunes éclairs brillants,
Chaleur redonnant vie à un espoir mourrant,
Une ombre portait ces yeux vibrants, un visage calme.

Lentement, je fis quelques pas pour mieux le voir,
Lui, qui portait dans ses yeux ces soleils brûlants,
Et je l’aperçu, un loup magnifique et grand,
Le corps souple, le nez ivoire et la fourrure noire.

Fixant ces yeux chauds, je continuai d’avancer,
Ne tremblant que par le froid, j’avais confiance.
Qui sait? Peut-être aurai-je enfin de la chance.
Peut-être y trouverai-je la chaleur souhaitée.

Dans la noirceur de cette douce nuit
Alors que je marche sans bruit
Telle une mère berçant son bébé
Elle me caresse de ses bras satinés

La nuit est magnifique, vraiment
Avec toutes ces étoiles brillant
De leurs milles feux ardents
A des années-lumière de nous brûlant

Mais elle peut aussi être terrible
Nous étouffant sous un voile
Sous un ciel sans lune ni étoiles
Nous privant de lumière, irascible

La nuit, finalement, est un cadeau
Pour ceux sachant l’apprécier
Comme elle peut être un fardeau
Un poids impossible à porter

Vous m'excuserez, je ne parle pas ni ne comprends l'allemand.

Enfin quelqu'un qui aporte à mon post une réponse! Enfin je ne suis plus seule a exhiber des textes! Quel bonheur!

Silver mask, vraiment je commence à vous aprécier!

Il est normal pour moi d'exercer ma plume là où elle est la bienvenue. Ne vous en faites pas, à présent, nous serons au moins deux à poster sur ce topic...

Peau ambrée enveloppée par des voiles diaphanes
Chevelure noire ceinte d’or fin et de gemmes
Sa taille fine se déhance au rythme de la musique
Ses yeux, un gouffre profond illuminé de paillettes d’or
Sa jolie silhouette se découpant à contre-jour du brasier
Ses mouvements envoûtent tous ceux qui l’entourent
Personne ne veut qu’elle finisse cette merveilleuse dance
Mais toute belle chose finit par se fâner…

Silver Mask

Mes amis

je vous ai fait défault. J'ai échoué j'approche la mort. Avant que l'ont me ferme les yeux de force, je préfère offrir ma force au Spéculus de mon choix. À la prochaine réunion, je demande qu'on me laisse mourrir en Spéculus, comme une artiste en souvenir de ce que je suis et ce que j'étais. Je sais que d'ici quelques semaine je serai éliminée de toute façon, alors qui souhaite prendre mon sang? Je n'offrirai aucune résistance à la personne que je choisierai.


Le sable blond qui sous mes pieds ondoie,
Et la mer profonde, infinie,
Invite à toutes les pires folies.
La plage chaude que n’atteint pas le froid.

Le sable humide sous ses doigts agiles
Qu’il travail et sculpte a son gré,
Grandit avec toute la beauté
Qu’on les antiques sculpture faites d’argile.

Puis se dressant, haute et magnifique,
Son œuvre enfin parachevée.
Il ne reste plus qu’à l’admirer
Pour en garder un souvenir magique.

Or, le vent fâché se lève et balaye
Le sable blond et le château.
L’enfant se lève sans un mot
Et tourne son regard vers le ciel vermeil.

Là, les yeux pleins d’eau et rougis,
L’enfant murmure dans la nuit :
‘Ma plus sublime création
Fût tuée par un typhon.’

Ceci seront mes derniers post de textes

Je ne suis qu’une ombre qui erre dans ce monde creux,
Abasourdie, absente et profondément vide.
J’évolue le sourire las et les yeux humides.
Mes sentiments glacés sont vaguement bleus
De toutes les larmes pétrifiés par la froideur
Des corps dont l’âme inexistante se proclame cœur,
Qui forment une société d’être trop nombreux.

Sombre, mon essence est ce mal d’être qui s’étire
En vapeurs glacées qui s’effilochent et s’enroulent
Autour d’eux-mêmes et dont je bois tout mon saoul,
Les laissant descendre en moi et y bouillir.
Et la pression monte, elle surchauffe en cette mer,
Bientôt elle explosera tel un geyser,
Eau odeur de souffre et de misère.

Ce serait un honneur de pouvoir avoir votre sang, que vos dessins puissent inspirer mon arts et vos poèmes résonner à mes oreilles lors de mes pratiques chirugicales. De plus vous ête forte et en tant que nouvel opératif j'ai besoin de cette force. Je regrette de n'avoir pus vous donner quelque cours comme prévu.

Je crois qu'il serait plus sage que ce soit notre Maître qui fasse la décision, remettez-vous en à nos supérieurs. Nous ne vous oublierons pas .

Adieu, ange de la nuit, Ripper.

Silent death

Wir waren wie zwei Engel
Auf unserer Reise durch die Nacht
Niemand konnt' uns folgen
Die Dunkelheit gab uns die Kraft
Wir flogen immer weiter
Wollten niemals mehr zurück
Doch nun steh ich hier
Und seh'die Angst in Deinem Blick

Laß mich Dich noch einmal spüren
Bevor Du dann für immer gehst
Bitte halte mich ganz fest
Ein letztes Mal bevor Du gehst

Ich weiß du kommst nie mehr zurück
Und Du lässt mich hier allein
Doch meine Tränen sagen Dir
Ich werd immer bei Dir sein

Was ist geschehen?
Die Sonne scheint auf Dein Gesicht
Deine bleiche Haut
Warum antwortest Du nicht?
Ich küsse Deine Stirn
Deine Hand sie ist so kalt
Jemand zieht Dich fort
Doch ich kenne die Gestalt


English

We were like two angels
On our trip through the night
No one could follow us
The darkness gave the power to us
We flew on and on
Wanted never to return
Yet now I stand here
And I see the fear in your eyes

Let me feel you once again
Before you go away forever
Please hold me very tight
One last time before you go

I know you will never return
And you left me here alone
Yet my tears say to you
I will always be with you

What has happened?
The sun shines on your face
Your pale skin
Why do you not answer?
I kiss your forehead
Your hand is so cold
Someone pulled you away
Yet I know the shape

Code:

Music

Music flows
Through my veins
Like a drug
Ensnaring my brain
In its grip
Dictating my emotions

No matter what nationality
Music unifies us
There are so many types
Everyone finds his favorite
Uplifting or depressing
No matter your initial mood

Music sometimes agresses us
When the ones playing the music
Play rough music like hard metal or punk
Or when the music
Becomes sounds and screams of aggressive words
Or when entirely distorted by computer

I like more true music
When you’re in the same room
As the musicians play away
I love various musics because there’s always
A catchy tune that suits my mood
Music can lift you up or crash you down

But I will always love music anyway
How can mere vibrations make us
So vulnerable to them?
How can it reach us
Down to our core?

La musique

La musique parcourt mes veines, telle une drogue
Enveloppant mon cerveau d’une cage musicale
Dictant mes émotions

Peu importe de quelle nationalité nous venons
La musique nous unit
Il y a tellement de genres
Tout le monde trouve le sien
Joyeuse ou déprimante
Peu importe l’atmosphère de départ

Parfois, la musique se fait aggressante
Quand ceux la produisant
Jouent de la musique trop dure
Comme du rap ou du death metal
Ou quand la musique ne devient
Qu’un ramassis de sons additionnés ou tordus

J’aime mieux la vraie musique
Celle que l’on voit et qu’on entend en même temps
Quand les musiciens sont dans la même pièce
J’aime différents genres alors il y a toujours
Une musique entraînante pour me remonter le moral
Ou pour m’attirer vers de profondes abîmes de désespoir

J’aimerai toujours la musique
Mais je pose bien des questions
Comment une petite vibration dans l’air
Peut-elle nous faire vibrer autant
Au plus profond de nos êtres?